• Les symptômes d'une grosse nerveuse du chien sont très faciles à déceler La production de lait maternel : le corps d'une chienne en grossesse nerveuse va agir comme si des chiots venaient de naître. De ce fait, la chienne va se mettre à produire du lait. Elle aura donc les mamelles gonflées.

    Un changement de comportement : la chienne va également adopter un comportement protecteur. Elle risque alors de devenir plus craintive, mais aussi plus collante auprès de ses maîtres. Dans certains cas, elle va rassembler des objets et jouets pour chien et se mettre à les protéger, comme s'il s'agissait de chiots. Cela peut enfin se traduire par un manque d'appétit ou un stress constant.

    En cas d'apparition de ces symptômes, il est toujours bon de consulter un vétérinaire pour être certain d'une grossesse nerveuse du chien.

    Comment traiter la grossesse nerveuse d'une chienne ? 

    En soi, la grossesse nerveuse d'une chienne n'est pas forcément  dangereuse pour la santé. Il s'agit en effet d'un réflexe hormonal tout à fait classique pour une chienne non stérilisée.

    En revanche, les symptômes d'une grossesse nerveuse du chien peuvent déranger à la fois le chien et le maître. Votre chienne risque en effet d'être stressée, de pleurer quand vous la quittez ou encore de devenir envahissante. Plus dangereux pour la santé du chien, l'accumulation de lait maternel dans les mamelles pourrait  devenir douloureuse, et facilitera l'apparition de tumeurs mammaires.

    Il peut alors être intéressant d'utiliser un traitement pour faire cesser la grossesse nerveuse du chien. On utilisera pour cela des inhibiteurs de sécrétion de prolactine, qui auront pour effet de faire cesser la production de lait et donc les douleurs ressenties par la chienne. Cela ne se fera cependant que sur ordonnance du vétérinaire... et après avoir vérifié qu'il ne s'agit pas d'une vraie grossesse !

    Dans tous les cas, on tentera d'empêcher tous les comportements maternels de la chienne. Il faudra par exemple se débarrasser des objets qu'elle rassemble et ne pas l'inciter à vous suivre ou à vous materner. Doubler la fréquence de vos promenades pour chien ou des activités pourrait aider.   

    Éviter la grossesse nerveuse du chien

    Nous l'avons vu, une grossesse nerveuse ne sera pas forcément dérangeante pour une chienne. Malheureusement, il faut savoir que les grossesses nerveuses d'un chien augmentent le risque de cancer des mamelles ou d'infections de l'utérus.

    Il n'est en effet pas bon de laisser s'accumuler le lait maternel dans les mamelles d'une chienne.  Mais n'allez surtout pas essayer de tirer le lait d'une chienne en grossesse nerveuse ! Cela ne ferait que stimuler la production de lait, et pourrait donc empirer la situation.

    Même s'il existe un traitement pour faire cesser la production de lait, le mieux est encore de stériliser une chienne dès qu'elle n'est plus amenée à se reproduire. Cela arrêtera tout bonnement l'apparition de grossesses nerveuses, et sera donc meilleur pour la santé de votre chienne !


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  • Dermatite pyotraumatique du chien

    On a beau aimer l’été, la chaleur est pleine de dangers pour nos amis les chiens. L’un d’entre eux, c’est la dermatite pyotraumatique. Les maîtres de certaines races sont sûrement passés par là ! Qu’elle soit superficielle ou suintante, une dermatite pyotraumatique doit toujours être traitée rapidement pour éviter les complications. Pas de panique, on va regarder ça ensemble !

    Symptômes et description de la dermatite pyotraumatique chez le chien

    On parle de dermatite lorsque la peau est irritée par un prurit qui devient infectieux. Des bactéries se sont installées sur une zone de peau mal aérée et humide. Mais on dit qu’elle est pyotraumatique parce qu’elle est provoquée par le chien lui-même. Dérangé par une piqûre ou une petite lésion, il se gratte et se mordille, ce qui engendre une réaction inflammatoire suintante.  

    La dermatite pyotraumatique se présente sous forme de plaque rouge au centre d’une zone un peu enflée. Au centre de la plaie, les poils ont disparu, mais autour, ils sont souillés, humides et collés par le pus. Il peut arriver qu’une croûte soit placée au centre, et la lésion est souvent purulente. Cependant, la zone est généralement bien délimitée, mais elle peut s’étendre rapidement. Elle s’accompagne souvent d’une mauvaise odeur caractéristique.

    Irritante dans un premier temps, la lésion peut devenir douloureuse. Pour le chien, c’est obsessionnel, il le lèche, se frotte et se mordille sans arrêt, ce qui ne va pas aider à arranger la situation, bien au contraire.

    Le plus souvent, la dermatite pyotraumatique se situe au niveau de l’encolure, de la tête (les joues et les oreilles) ou de la croupe.

    Causes de la dermatite pyotraumatique du chien

    La dermatite pyotraumatique est le résultat d’une première lésion. Les causes sont anodines dans un premier temps :

    Piqûre de puce déclenchant une réaction allergique. Certains chiens sont allergiques à la salive des puces.

    Présence de parasites à la surface de la peau comme la gale sarcoptique ou la cheyletiellose

    Prédisposition génétique : certains caniches ont une atopie qui les fait réagir violemment à la moindre lésion cutanée. Les Labradors, Bouviers Bernois et Golden Retriever, avec leur sous-poil très dense, ont également un risque accru car la peau est mal aérée.

    Une petite plaie ou irritation provoquée par le toilettage, un jeu ou une promenade en pleine nature

    L’otite externe peut dégénérer en dermatite pyotraumatique.

    Une inflammation des glandes anales

    En revanche, chacune de ces causes ne provoque pas systématiquement l'apparition d’un hot-spot. C’est la réaction du chien qui va faciliter l’installation et la prolifération de bactéries dans les couches supérieures de la peau.

    Les risques encourus par un chien présentant des hot-spots

    Une dermatite pyotraumatique ou dermatite suintante aigüe a très peu de chances de se résorber seule. Le risque pour le chien est double : la surinfection et l’installation de staphylocoques dorés d’une part, beaucoup plus difficiles à soigner, et l’expansion d’autre part. Plus la plaie s’étend, plus le traitement sera lourd pour le chien.

    Enfin, il ne faut pas oublier que la douleur est importante et peut rendre la vie dure au chien !

    Et attention, il ne faut pas traîner à prendre rendez-vous chez le vétérinaire : la dermatite pyotraumatique apparaît souvent très rapidement (en quelques heures). On arrive vite dans une situation d’urgence !

     

    Traitement des hot-spots

    Le diagnostic est assez facile à poser. Le vétérinaire peut rapidement débuter les soins. La première chose à faire, c’est de stopper l’effet de macération. Les poils autour de la plaie empêchent l’air de passer et véhiculent des agents infectieux. Le vétérinaire met le chien sous sédatif pour raser toute la zone autour de la plaie afin de l’assainir. Un traitement anti-inflammatoire est souvent prescrit, accompagné d’une pommade à base de cortisone et d’un traitement de courte durée à base de corticoïde.

    Lorsque le hot-spot se présente comme un accident isolé, il est traité au coup par coup, mais si le phénomène est récurrent, le vétérinaire fera sans doute des examens supplémentaires pour chercher la cause sous-jacente.   dermatite pyotraumatique chez l'Akita Américain. dermatite pyotraumatique chez l'Akita Américain.


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  • Symptômes de la dermatite atopique du chien

    Les symptômes peuvent ressembler à ceux d’autres maladies. C’est pourquoi avant de diagnostiquer une dermatite atopique chez le chien, on commence par écarter les autres problèmes possibles : parasites, allergie à la salive des puces, infections, etc.

     

    Il n’y a pas de test permettant de déceler avec certitude une dermatite atopique. C’est donc en croisant un diagnostic clinique et épidémiologique qu’un vétérinaire peut déterminer la caractéristique atopique chez un chien. Voici les points pris en compte pour poser le diagnostic :

     

    La maladie se déclare chez des chiens jeunes, entre 6 mois et 4 ans maximum.

    Peau très sèche (la peau laisse sortir l’eau et rentrer les bactéries)

    Otites répétées

    Lésions sur le bout des pattes, autour des oreilles et de l’anus (c’est plus atypique, mais les lèvres, les paupières et le ventre peuvent être touchés) avec perte de poils, épaississement de la peau, pigmentation

    Apparition de papules et de pustules. La zone touchée est rouge, avec la formation d’un prurit.

    Léchage ou grattage compulsif, ou si la zone touchée est au bout des pattes, mordillement

    Le chien appartient à l’une des races sensibles

    On considère que 10% des chiens environ seraient atteints de dermatite atopique. Les chiens atteints ont une peau particulièrement sensible à divers allergènes. Pour jouer son rôle de barrière contre les agressions extérieures, la peau a besoin d’un subtile équilibre qui n’est plus assuré naturellement. Il y a un facteur auto-immune dans un certain nombre de cas.

     

    Causes de la dermatite atopique chez le chien

    Un certain nombre de races sont prédisposées à souffrir de dermatite atopique. Cependant, un débat oppose les partisans du tout génétique et ceux qui considèrent que le mode de vie et l’alimentation industrielle jouent également un rôle important dans le déclenchement des crises.

     

    Quoi qu’il en soit, le Jack Russel Terrier, le Shar-Peï, le Bouledogue français, le Beauceron, le Berger allemand, le Boxer, le Yorkshire terrier, le Golden Retriever, le Labrador, le Cairn Terrier, le Chihuahua, le West Highland White terrier, pour ne citer que les plus connus, ont plus de risques que d’autres d’être touchés.

     

    Les crises sont déclenchées par des éléments allergènes qui diffèrent d’un chien à l’autre. Les causes les plus fréquentes sont :

     

    Contact avec des parasites : puces, acariens, etc

    Infection par des bactéries ou des levures

    Les pollens dans les plantes. C’est plus rare mais ça arrive.

    Un ou plusieurs éléments présents dans l’alimentation

    Risques encourus par un chien atteint de dermatite atopique

    Il n’y a pas de risque grave lié directement à la dermatite atopique. Ce qui peut devenir préoccupant, en revanche, ce sont les conséquences des crises si elles ne sont pas bien soignées. En effet, parmi les bactéries qui attaquent le plus souvent, on trouve souvent les redoutables staphylocoques dorés. Ils sont très résistants à tous les traitements, et peuvent entraîner des infections chroniques. Pour la peau et l’organisme, ces crises sont fatigantes.

     

    Enfin, il n’est jamais bon de voir baisser les défenses face aux agressions extérieures, surtout pour un jeune chien qui aime profiter des promenades en plein air !

     

    Traitement de la dermatite atopique

    On ne guérit pas la dermatite atopique. Un chien atteint l’est pour la vie. Cependant, il ne s’agit pas de baisser les bras car des traitements permettent d’éloigner les crises et d’en diminuer l’intensité.

     

    On l’a vu, la première difficulté est de poser le diagnostic. Ensuite, il faut encore effectuer des tests pour savoir quels allergènes font réagir le chien.

     

    Après, l’objectif est de soigner les crises en cours et d’éviter que s’en produisent de nouvelles. On propose souvent la désensibilisation aux agents allergènes. C’est un travail de longue haleine, mais cela permet de baisser l’intensité des crises, à défaut de les faire entièrement disparaître.

     

    Chaque chien étant unique, l’automédication n’est pas recommandée.

     

    On peut dégager plusieurs niveaux de traitement :

     

    Le traitement de crise : cortisone, pommade ou spray. Éventuellement un antihistaminique mais ils sont souvent inopérants sur ce problème. Antibiotiques et antifongiques en cas d’infection de bactéries ou de levures.

    Le traitement de long terme : immunothérapie pour désensibiliser le chien. Il faut compter 6 à 12 mois avant d’en voir les premiers effets.

    Les traitements d’hygiène : shampooing recommandé par le vétérinaire, traitements anti-parasites tous les mois, brossage régulier, toilettage.

    Un traitement alimentaire : compléments à base d’oméga 3 et oméga 6 comme les gellules Agepi par exemples pour renforcer la barrière cutanée et des aliments nouveaux pour le chien. Le vétérinaire peut prescrire des repas hypoallergéniques.Les allergies chez les Akita Américains.

     


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  • Intoxication alimentaire

    Obstruction intestinale

    Les deux dernières causes relèvent de manière de l’urgence absolue. Il est conseillé de prendre très vite contact avec vétérinaire. D’autres symptômes inquiétants accompagnent alors la constipation.

     

    Que faire en cas de constipation du chien ?

    Dans les cas où la constipation est un problème isolé dû à une hygiène de vie inadaptée, c’est avant tout au maître de soulager son chien.

     

    Dans un premier temps, il est conseillé d’éviter les aliments qui épaississent les selles : riz et carottes par exemple, et de privilégier les protéines issues de viandes blanches, plus légères et moins irritantes pour l’intestin.

     

    Il faut s’assurer que le chien boive suffisamment au cours de la journée : a-t-il à sa disposition de l’eau fraîche et propre toute le temps ? Il peut être intéressant de lui proposer une nourriture moins sèche et plus chargée en fibres : pâtée, nourriture réhydratée, crudités etc. En guise de casse-croûte, plutôt que des friandises, vous pouvez lui proposer des petits bouts de pomme crue.

     

    Enfin, si le chien ne souffre pas ou n’est pas fatigué, il ne faut pas le confiner à la maison le temps de guérir. Au contraire, faire un peu plus de sport pourrait contribuer à débloquer la situation !

     

    Ne donnez jamais de médicament à votre chien en dehors de ceux recommandés par le vétérinaire. En revanche, vous pouvez essayer quelques médicaments naturels. On sait que le son de blé, l’avoine, l’huile de lin, le pissenlit ou le psyllium, entre autres, peuvent avoir un effet bénéfique en petite quantité. Certains agissent sur le foie, d’autres aident les parois intestinales à produire du mucus pour rendre le passage des matières plus fluide.

     

    Prévention de la constipation chez le chien

    Comme bien souvent, si vous voyez que votre chien est sujet à la constipation, le mieux est encore de prévenir le problème pour lui éviter cet inconfort.

     

    Dans un premier temps, veillez à ce qu’il ait un espace assez grand où courir et se dépenser au moins deux fois par jour. Faire de l’exercice facilite le transit intestinal. Le tour du pâté de maison à pied, ça ne suffit pas !

     

    Ne prenez pas l’habitude de rentrer dès que le chien a fait ses besoins, car il risque de se retenir pour ne pas mettre fin à la balade tout de suite !

     

    Ensuite, et cela peut prendre du temps, il faut lui trouver une nourriture parfaitement équilibrée selon ses besoins. Trop de variété, pas assez ou trop de fibres, trop de graisses ou de sucres, sont des facteurs d’irritation de la paroi intestinale, et donc de constipation ou de diarrhée. Une alimentation semi-complète ou BARF peuvent être des solutions.  

     

    La portion quotidienne doit être fractionnée et répartie en deux ou trois repas pour faciliter la digestion.

     

    Évitez les friandises, et surtout les os pour chien.La constipation chez l'Akita AméricainLa constipation chez l'Akita Américain

     


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  • Les causes de l’éternuement chez le chien

    Pas de panique, le plus souvent, les causes de l’éternuement chez le chien sont bénignes. En effet, l’éternuement indique une irritation superficielle des voies respiratoires supérieures. Lorsque quelque chose gêne le passage de l’air, éternuer est un réflexe. En revanche, si le chien éternue plusieurs fois de suite sans pouvoir s’arrêter, cela signifie que le corps ne parvient pas à dégager ce qui le dérange. On peut alors chercher d’autres causes :

     

    Un rhume : ce n’est pas grave, comme pour les humains.

    La toux du chenil : plus inquiétante et très contagieuse entre animaux domestiques

    Une allergie : poussière, pollen, matière présente dans la maison, fumée, etc.

    Un corps étranger coincé dans les voies respiratoires. Celui dont il faut le plus se méfier, c’est encore une fois le terrible épillet. Ce n’est pas en éternuant que le chien parviendra à s’en débarrasser !

    Les voies respiratoires irritées : si l’air est trop froid ou trop chargé en particules irritantes.  

    Bien que rare, la mycose du museau, très douloureuse, peut entraîner des crises d’éternuement. Les chiens à museau long sont plus susceptibles que les autres d’être atteint, mais toutes les races peuvent être concernées.

    Remarquez : certains éleveurs ont observé que les chiens éternuent souvent lorsqu’ils jouent entre eux. On ne sait pas précisément pourquoi, mais on pense que c’est un langage social. Est-ce pour demander l’arrêt du jeu ? Une tentative de réconciliation lorsque la situation est tendue ?

     

    L’éternuement inversé du chien : définition

    En général, on éternue en expirant. Il arrive que le chien éternue en inspirant. C’est un éternuement inversé, ou “reverse sneezing”, très bruyant et assez impressionnant. La gueule fermée, le cou tendu, votre chien émet un puissant ronflement pendant 30 secondes à deux minutes.

     

    On ne connaît pas très bien les raisons exactes de ce phénomène spectaculaire, mais rassurez-vous, c’est sans gravité. Le chien ne s’étouffe pas, malgré les apparences.

     

    On peut aider la crise à se terminer en caressant la gorge du chien en même temps qu’on lui bloque les narines.

     

    Examiner son chien quand il éternue beaucoup

    Ce qui doit attirer votre attention, c’est la fréquence des crises d’éternuement. Il n’est pas immédiatement nécessaire d’appeler le vétérinaire. Dans un premier temps, vous pouvez vous-même ausculter le chien et voir comment il réagit.

     

    Pour inspecter ses narines, demandez-lui de s'asseoir et inclinez-lui la tête en arrière dans les rayons d’une lumière forte. Attention, cependant, ce n’est pas parce que vous ne voyez rien qu’il n’y a rien ! Si vous apercevez un objet dans le nez, n’essayez pas de le retirer, sauf s’il est lisse (morceau ce croquette) et proche de la sortie.

     

    Vous pouvez également rester attentif à la présence d’autres symptômes :

     

    toux et fièvre, qui peuvent révéler une infection

    l’abattement et le manque d’appétit

    écoulement nasal de mucus

    saignement du nez

    difficultés respiratoires en contexte d’effort physique ou non

    Si l’un de ces symptômes accompagne les éternuements, il vaut mieux prendre rendez-vous chez le vétérinaire pour éviter que l’état du chien n’empire.

     

    Quel traitement pour les chiens qui éternuent ?

    Comme toujours, le traitement dépend de la cause. Dans les cas les moins graves, donner de l’eau propre au chien et l’éloigner des sources de fumée ou de poussière est suffisant.

     

    Sinon, un spray d’eau saline nasale peut aider à nettoyer les muqueuses respiratoires.

     

    En revanche, si on se trouve dans un cas plus préoccupants, un antibiotique ou un antihistaminique peuvent s’avérer nécessaires.

     

    Quant à la présence de corps étranger, le vétérinaire devra procéder à une petite intervention chirurgicale pour libérer le chien.

     

    Attention, hormis le sérum physiologique, les médicaments pour les humains ne sont pas forcément adaptés à nos amis les chiens !Eternuement de l'Akita Américain.Eternuement de l'Akita Américain.

     


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